Delhaize Cooking Event (part 2)

Pour la deuxième année consécutive, je me suis rendu au Delhaize Biggest Cooking Event. J'ai gagné deux places pour le cours de cuisine de ce 17 novembre, mais cette année je m'y suis rendu avec ma mère. Poochie est certes un bon commis, mais on ne peut pas dire qu'il porte un très grand intérêt à ce genre de cours...

Cette année, c'était organisé au Palais 4 du Heyzel. Nous y arrivons dans les temps et faisons la file. Le monde s'entasse, les casiers sont limités, mais on arrive à ranger nos affaires sans problème et à entrer dans la salle principale, un verre de bulles à la main.

Même concept que l'an dernier : les partenaires sont rassemblés et proposent des concours ou dégustations pour nous faire patienter. On participe à presque tous les concours, on boit un café, je goûte du saumon cru dans un mélange d'épices, on se fait prendre en photo par Delhaize. Je goûte même une fraise trempée dans une jolie fontaine au chocolat que j'aimerais bien avoir à la maison...

Le cours débute, on se rend à nos ilots. Les gens attendent, mais on se demande surtout qui sera le chef. Je glisse un coup d'oeil aux recettes et découvre qu'il s'agira de Lionel Rigolet. Le même que l'an dernier, donc. J'aurais bien voulu découvrir un autre chef, mais soit.

Le chef arrive, on l'applaudit, il se met en place. Bref, ça va commencer!

Deux recettes au menu : des noix de Saint-Jacques au lime pepper, sauté de chicons et haricots à couper au wasabi et sésame. Et le dessert consiste en de l'ananas caramélisé, un jus aux épices, une gelée à la framboise (qu'on ne verra jamais) et un sorbet au vin rouge.

Le menu semble plutôt pas mal, mais il faut se mettre au boulot. Ma mère est particulièrement énervée, ce qui m'énèrve aussi. Qui plus est, on manque de pas mal d'ingrédients et de plusieurs ustensiles. Bon, pas mal d'ilots ont aussi des problèmes, mais bien moins que nous. Faut croire qu'ils nous ont mis à l'ilot le plus pourri. On travaille tant bien que mal tout de même...

Hiroshima, ou presque...

L'assiette en cours.

On arrive tout de même à préparer notre plat et notre dessert, même si au final on n'aura jamais vu la couleur de certains ingrédients.

Il a de la gueule mon plat.

Toi par contre t'es moche

Entre un chef qui cuisine mais n'explique pas ce qu'il fait (pas de chance quand on se concentre sur ses plats plutôt que sur l'écran géant et qu'on fait confiance à son ouïe plutôt qu'à sa vue) et des soucis organisationnels de Delhaize, je trouve mon plat plutôt joli. Le dessert fut très bon, mais entre le sorbet presque fondu qu'on nous met sur l'assiette, la gelée de framboise qui n'arrivera jamais, les biscuits cigarettes qui auraient du être au nombre de deux par personne mais qui ne sont que deux au total, et j'en passe... ben c'est moche. Mais c'était assez bon, même si je trouve que ça ne casse pas la baraque.

Nous avons mangé le dessert en buvant un café. J'ai constaté que celui qui s'occupait de gérer les cafés était ma foi fort mignon, et qu'en plus de cela il y avait quelques belles créatures qui avaient participé au cours de cuisine. Après le plaisir du goût, le plaisir des yeux.

On est reparti de là avec un sac cadeau, mais cette fois-ci moins bien fourni que l'an dernier. On y trouve tout de même un tablier, un paquet de thé et de café moulu, des olives, un paquet de biscuit, une bouteille de solo, un petit paquet de chocolat et de la pub. L'an dernier, on avait aussi et surtout un gros paquet de tablettes Sun pour lave-vaisselle, et un plat préparé. C'est pas grave, j'ai plutôt bien mangé!